Le 8 septembre 2018, les organisations de sauvetage de la Croix-Rouge suisse appellent la population à acquérir des compétences au sujet des mesures d’urgence qui peuvent sauver des vies et de les renouveler et de les rafraîchir à intervalles réguliers.
Que ce soit à la maison, sur le lieu de travail ou pendant la pratique des loisirs, de nombreuses urgences et de nombreux accidents arrivent dans un environnement qui est familier. Dans ce cas, très souvent, chaque minute compte.
Plus la réponse en termes de premiers secours est rapide, plus grandes sont les chances de survie. En particulier en cas d’arrêts cardio-vasculaires. Un traitement immédiat est particulièrement important, car : sans mesures de réanimation, les chances de survie chutent de 10 pour cent par minute. Et pourtant, il y a encore une grande partie des personnes qui hésitent à s’impliquer dans ce type de situations. Il est donc important de faire tomber les barrières à une participation active en raison de la gêne des personnes qui pourraient être particulièrement utiles à ce moment-là.
C’est pourquoi les organisations de la Croix-Rouge réalisent, depuis l’an 2000, et ce dans plus de 150 pays, chaque deuxième samedi du mois de septembre, une journée internationale des premiers secours. Dans un grand nombre de lieux, le 8 septembre 2018, il sera possible de participer à des exercices publics, afin de permettre aux personnes impliquées de se sentir plus sures et de les motiver à pratiquer les premiers secours en cas d’urgence.
Les personnes qui souhaitent se familiariser avec les procédures de premiers secours ou celles qui souhaitent remettre au gout du jour leurs connaissances dans ce domaine trouveront un vaste éventail de cours auprès de l’Alliance suisse des Samaritains : www.samariter.ch
Journée internationale des premiers secours – seul ne rien faire serait une erreur
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Ces informations se veulent des indications sommaires et ne doivent pas représenter la seule base pour des décisions liées à votre état de santé. Consultez votre médecin ou votre pharmacien en cas de question médicale. Une recherche sur internet ne remplace pas une consultation par un professionnel.